Barcelone – Andorre
Nous quittons avec tristesse l’appartement de Luis, il faut bien reprendre la route…
Un dernier petit déjeuner, là ou nous l’avons pris chaque jour
Et nous ressortons de la ville, toujours guidés par le GPS. Peu de monde en cette matinée, tant mieux!
Les taxis Barcelonais, reconnaissables à leur teinte jaune et noire
En sortant de la ville, un bâtiment étrange, surnommé (à juste titre?) « le suppositoire » par les habitants
Puis c’est rapidement les paysages désertiques qui nous accueillent. Nous quittons la civilisation par une grande route
Puis nous bifurquons rapidement sur la N260, largement plus déserte.
A partir de là, nous ne croisons que très peu de voitures. Le plein a été fait, les stations ne sont pas légion dans le secteur, et surtout ça grimpe, la consommation va forcément s’en ressentir.
1800 mètres d’altitude, un premier cap
Salut les vaches!
Puis nous redescendons vers Puigcerda
Petite ville sympatique, nous en profitons pour refaire le plein, et nous nourrir! Vu qu’il n’y a pas beaucoup de villages sur la route, il ne faut pas louper l’occasion…
Le temps est parfois menaçant
Nous arrivons ensuite rapidement à la frontière de la Principauté d’Andorre. Passage à la douane sans histoire
Après ces paysages désertiques, le choc est rude, nous revoilà dans la société de consommation. Les grandes enseignes se succèdent…
Notre hôtel au loin. Ce n’est pas spécialement indiqué, quasiment toutes les routes sont en sens unique, nous ferons donc 2 fois le tour du quartier avant d’arriver au parking…
Surprise, c’est un très bel hôtel 4****, trouvé à un vil prix sur internet. Nous apprécions le confort, et la climatisation…
Petite promenade pédestre à Andorre La Vieille, pas désagréable…
Nous devrons tout de même courir nous abriter rapidement, nous avons essuyé un orage et une averse de grêle assez dantesques…
Malgré quelques recherches, nous ne trouverons pas de matériel électronique à prix cassé, comme c’est censé être le cas en Andorre. J’étais notamment à l’affut d’accessoires pour la GoPro, mais il n’y avait rien de bien exceptionnel…
Météo
Moral
Le trajet du jour