Jeudi 24 Juillet – Bye bye Islande
Comme prévu, lever aux aurores (même si forcément il fait déjà bien clair sous ses latitudes), et c’est à nouveau la pluie qui va nous accompagner, comme pour ne pas (trop) nous faire regretter de partir. De plus, les vingts derniers kilomètres sont complétement gravillonnés, nous finirons à 20km/h, en tentant de ne pas tomber. Sympa…
Le temps est tout de même moins bouché que lors de l’arrivée, on peut voir le décor
Nous arrivons à l’heure au port, trois heures en avance, et évidemment, une fois le check-in fait, on glande un peu sur le parking… Nous rencontrons un Italien qui fait le tour du monde, le parcours est déjà impressionnant
Nous allons marcher un peu dans le village encore endormi. L’Islandais se lève très, très tard. Notamment le weekend, il ne faut pas compter voir un habitant local dans les rues avant 11 heures ou midi.
Je trouve un moteur dans une caisse en bois, je réfléchis à comment le monter sur la moto, mais ça ne rentre pas 🙂
Vu que nous n’avons pas eu le temps de prendre le petit déjeuner, nous nous dirigeons vers l’hôtel du coin
Les 2 roues sont ensemble sur le parking, qu’ils soient motorisés ou pas 🙂
Et oui…
Comme toujours, les motos embarquent en premier, nous sommes tout au fond du bateau
Ce qui laisse le temps de monter les bagages, de s’installer dans la cabine (à l’aller nous avions la 7306, là nous avons la voisine, la 7305) puis d’aller sur le pont pour regarder la suite de l’embarquement
Ce Land Rover termine le voyage remorqué par un tracteur…
Le Land Cruiser « Azalaï » du couple que nous avions rencontré à Stykkishólmur. De manière générale, nous retrouvons pas mal de gens que nous avions rencontré soit au trajet aller, soit sur la route.
Puis c’est le départ, le bateau fait aller sa sirène qui résonne dans le fjord. Dommage pour les habitants encore au lit.
Au revoir l’Islande!! (même si les plus pertinents d’entre vous aurons noté que le drapeau en arrière plan n’est pas celui de l’Islande mais celui des Féroé, vu que le bateau est sous ce pavillon)
La sortie du fjord est majestueuse, nous en profitons d’autant plus que nous n’avions rien vu à l’arrivée, tout était couvert de brouillard.
Mais quelques kilomètres plus loin, nous entrons dans une nappe de brouillard
Et très rapidement, on ne voit plus rien
Reste maintenant 48 heures à tuer sur le bateau…
Le trajet du jour
Même si le soleil n’était pas souvent présent ,je pense que vous avez fait un voyage exceptionnel ,maintenant il va falloir vous habituez a vivre dans une maison , Merci Stephane et Valerie pour ce beau reportage bizz