Bye Bye Edimbourg!

Objectif de ce matin, grimper à Arthur’s Seat, n’ayant pas pu le faire hier.
Pour le petit déjeuner, des Crumpets, histoire de varier un peu! 🙂

Petite appréhension au départ, car nous visons le parking au pied de l’ancien volcan, et nous avons peur de nous retrouver dans la circulation dantesque d’Édimbourg. Heureusement, le chemin est assez court, et nous ne faisons que 7 kilomètres avant d’arriver au parking en question. Nous nous acquittons des 2£ au parc-mètre, enfilons nos chaussures de rando, et jetons un œil sur le chemin à parcourir

La montée est gentille, malgré des panneaux peu rassurants

Ca monte progressivement, et la vue se dégage progressivement

Valou décide de faire demi-tour, la seconde partie de la montée étant particulièrement abrupte. Je continue seul, et à bon rythme.

La fin ressemble davantage à de l’escalade qu’à de la randonnée, mais la récompense est à la hauteur!

De tout là haut, une vue à 360° sur Édimbourg et ses faubourgs

Altitude 250 mètres (et 50 centimètres, c’est important)

Le sommet de ce volcan éteint depuis bien longtemps est constitué de pierres, sans végétation.

Par chance le temps est correct, et la vue dégagée. Par temps de brouillard, c’est surement moins sympa…

Toujours le château, mais vu d’en haut cette fois!

La redescente se fait facilement. Trop concentré sur la montée, j’en avais oublié de faire des photos du chemin! Les voici 🙂

Et c’est enfin le retour au camion

Pour déjeuner, nous ne résistons pas à l’appel de The Oink, comme hier!

C’est maintenant l’heure de quitter Édimbourg, et de mettre le cap vers le Sud. Nous sommes Mercredi, et ne prenons le bateau que Vendredi soir. Il est en théorie possible de faire le trajet d’une traite, mais nous décidons de prendre le temps… Donc direction le Sud, mais via la route côtière.

Une forme inhabituelle dépasse des falaises…

Un (gros) rocher, seul au milieu de la mer, avec un phare! (et des milliers d’oiseaux)

Nous nous arrêtons à l’envie, dès qu’un endroit nous plait. Et les coins pittoresques ne manquent pas

Nous suivons toujours la route en longeant la côte au plus près

L’heure tournant, nous décidons de nous arrêter à Berwick Upon Tweed. Cette ville semble charmante. Après un échec au camping principal (complet…), nous trouvons de la place au second camping, à deux kilomètres de là.

Nous décrochons les vélos, et allons explorer la ville.

Comme partout en Écosse, des terrains de golfs.

Ce n’est pas flagrant comme ça, mais le chemin traverse bien le terrain, attention aux balles perdues! (ça doit faire mal)

Les remparts donnent parfois un faux air de Saint Martin en Ré!

Des pêcheurs sur la jetée remontent des poissons sans arrêt. Ici quatre d’un coup sur la même ligne, une vraie pêche miraculeuse!

Puis retour au camping pour le diner, avec un peu de fromage Anglais. C’est un mélange entre du Cheddar et de la fourme d’Ambert, c’est vraiment délicieux.

En regardant la carte, nous nous rendons compte que nous sommes en fait…en Angleterre!. Nous avons quitté l’Écosse sans s’en rendre compte. La frontière était à quelques kilomètres au dessus de Berwick.